Le jour où j’ai planté mon premier business

creation entrepriseAllez on y va,

Oui en 2003, j’ai lu Père riche et père pauvre de Robert Kiyosaky.

1 mois après, j’essayais de monter ma première affaire.

8 mois après, je jetais l’éponge… Explications

Robert parlait de quitter la rat race (métro boulot dodo) en investissant dans des actifs.

Avoir une source de revenus qui ne dépendent pas uniquement de votre de chèque de paye comme il aime à le dire.

Il parlait de faire travailler son argent au lieu de travailler pour de l’argent, de passer du quadrant des Salariés aux Entrepreneurs…

Je ne savais pas faire grand-chose en dehors de mon travail et je me suis tourné vers le truc le plus simple au monde.

Créer une marque de textile, et vendre des tee-shirts.

Mon beau-frère s’occupait des logos et moi du reste.

Dépôt de ma marque à l’INPI, recherche de l’identité graphique. J’y croyais fort.

J’allais suivre la tendance surfwear et Quicksilver et Rip Curl n’avaient qu’à se tenir tranquille.

La marque s’appelait PEULVAEN (Menhir en breton ! Du lourd…)

J’ai reçu mes premiers logos.

Dès qu’ils sont arrivés j’ai lancé une petite série d’impression sur 6 tee-shirts dans une imprimerie locale.

1 semaine après je portais fièrement mon premier tee-shirt.

creation entreprise

 

Ils étaient tout beaux, tout chauds comme s’ils sortaient du magasin.

Mais je n’avais pas de magasin.

Après le premier passage au sèche-linge j’ai vite déchanté.

La catastrophe, tout était collé, le noir avait bavé partout… (pour info le logo est différent).

creation de business

 

Pour qui, pourquoi ? Qualité de l’impression, qualité du flocage… Je n’en savais rien, je n’y connaissais rien.

J’ai tout arrêté du jour au lendemain.

Ce que je retiens de cette aventure ?

Apprendre avant de passer à l’action, c’est con, mais c’est vrai.

J’ai décidé de ne plus jamais me lancer dans un truc où je n’avais aucune connaissance.

D’abord je me forme et après je passe à l’action.

Ça paraît évident quand on le dit comme ça.

Je n’avais aucune chance de réussir.

Deuxième point j’ai décidé de ne plus jamais abandonner dans mes projets.

Si j’abandonne c’est un échec.

Alors que si je n’abandonne pas, je n’échoue pas : je continue de progresser, de m’améliorer.

Je me bonifie tranquillement comme un vieux Petrus.

En 2016 avec l’immobilier j’ai touché 18 147,1 € de loyers annuels et 12 488.5 € avec internet.

Et là je n’ai pas mis les chevaux avant la charrue.

Je continue d’apprendre tous les jours. Même si je n’ai pas pris le chemin le plus court, je vais dans la bonne direction.

Si vous aussi vous voulez trouver la bonne direction et quitter cette satanée Rat Race, je vous invite cliquer sur ce lien.

Vous y trouverez la première étape qui vous emmènera vers l’indépendance financière.

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